Les élus du Grand Pau ont souhaité inscrire le bien être et la santé comme le fil conducteur de la démarche de révision du SCoT. A travers cette ambition, c’est la santé au sens général du terme qui est appréhendée car il s’agit d’une notion très transversale qui ne se limite pas qu’à l’offre de soins. En effet, si près de 25% de notre santé dépend de la médecine ou de notre capital biologique, notre environnement, notre façon de manger, nos loisirs, nos liens sociaux… impactent à hauteur de 75%, positivement ou négativement, notre santé.

 

 

 

 

Notre santé dépend du système de soins et de facteurs biologiques, de l’environnement, de l’alimentation, du logement, des loisirs, de l’emploi, du social, de l’enseignement et des mobilités.  

Le SCoT dispose de nombreux leviers pour impacter positivement les différents déterminants de santé via ses choix de politiques d’aménagement du territoire. Cet urbanisme favorable à la santé est une notion émergente, qui a peu été pratiquée dans les SCoT. Le Grand Pau constitue ainsi l’un des premiers territoires français à lancer une démarche santé intégrée à son projet politique. A ce titre, il bénéfice d’un appui financier de l’Agence Régionale de Santé de Nouvelle-Aquitaine. L’accompagnement santé du SCoT a ainsi été confié à un prestataire spécialisé, le bureau d’étude Hippocrate.

Le thème de la santé a déjà fait l’objet de plusieurs actions de sensibilisation auprès des élus et partenaires du Grand Pau avec le témoignage de Clément Crozet, co-fondateur de l’agence Architecture Santé et de l’association Santérritoire, et l’organisation d’un ciné conférence avec la projection du documentaire « Une santé planétaire, pour des environnements favorables au vivant ».

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